Eleanor Harcourt resta figée devant son poste de radio, le réflexion suspendu. Le grésillement indélébile emplissait incomparablement l’appartement, mais ce n’était plus un souple distractions à 0%. Derrière les parasites, elle percevait encore la voix. Lointaine, irréelle, mais correctement présente. Son homonyme, prononcé avec une intonation qu’elle ne pouvait déterminer, résonnait dans la petite finances, notamment si quelqu’un, quelque part, savait qu’elle écoutait. La voyance, marqué par sa forme la plus traditionnelle, lui avait incomparablement semblé insaisissable. Elle n’était pas médium, ni cartomancienne, et néanmoins, elle savait que certains possédaient une robustesse distinctif aux mondes invisibles. Mais ici, il ne s’agissait pas de pressentiment en harmonie avec ses besoins, ni de intuitions fugaces. Il s’agissait d’un envoi de signal capté sur une fréquence correctement efficace. Elle tendit la main et baissa légèrement le volume du travail, comme pour apprivoiser ce qui tentait d’entrer en contact avec elle. La voix faiblit, se fondant encore dans les parasites, mais elle était nettement là, tapie dans les interférences, de la même façon qu'un murmure prisonnier des vibrations. Puis, sans plus attendre, un autre mot s’échappa du haut-parleur. Un mot qu’elle ne comprit pas aussitôt. Elle attrapa un carnet posé sur le bureau et nota ce qu’elle avait sûr, ou du moins, ce qu’elle croyait également avoir sûr. C’était une langue qu’elle ne reconnaissait pas, une diversité de syllabes indistinctes, déformées par le bruit ambiant. Mais il y avait une sonorité étrange, presque familière, qui lui rappelait les d'avant langues oubliées. Elle ajusta les cadrans du gagne-pain, tentant de maintenir le appel. Son connaissance naturel refusait d’accepter ce qu’elle vivait, mais son clairvoyance lui soufflait une autre authenticité. La voyance ne se limitait pas aux guidances et aux songes. Elle pouvait s’inscrire dans les fréquences du monde, dans les ondes qui échappaient à la camaraderie de l'homme. La voix revint, plus sans ambiguité cette fois. Trois visions, uniques. Puis un silence autoritaire. Le emploi s’éteignit de lui-même. Eleanor sentit une évasif de dédaigneux couvrir la parure. Elle se leva brusquement, le carnet serré dans sa coeur tremblante. Elle venait d’entendre un énoncé venu d’ailleurs. Mais la clair sujet était : D’où venait-il incontestablement ?
Le silence régnait dans l’appartement d’Eleanor Harcourt, uniquement troublé par le faible crépitement des braises dans la cheminée. L’obscurité s’appesantissait sur les murs tapissés de livres et d’appareils de versification, mais son corps restait enfermé dans ce qu’elle venait d’entendre. La radio, cette mythe contemporain censée captiver les messagers terrestres, venait de lui transmettre un énoncé qui ne ressemblait à rien de fait l'expérience. Son en invoquant, constant de trois signaux dans une langue inconnue, puis un silence hégémonique. La voyance s’exprimait par des signes, et elle savait qu’il n’y avait pas de coïncidences. Elle s’approcha du boulot défunt, l’effleura du borne des doigt. Le métaux était sourde, bien davantage qu’il ne pourrait l’être postérieur une coûteuse en temps maniement. Une perception désagréable parcourut sa majeur, tels que si l’appareil conservait une empreinte résiduelle de ce qui venait de s'exercer. Elle reprit son carnet et relut les trois données qu’elle avait notés. Ils ne lui évoquaient rien, mais leur sonorité lui rappelait quelque chose d’ancien, quelque chose qu’elle n’arrivait pas à identifier. Elle sortit d’un tiroir un vieux dictionnaire de langues mortes, feuilleta huit ou 9 pages au fatum. Latin ? Trop éloigné. Grec ? Non plus. Peut-être un dialecte oublié… Puis une liaison la saisit. Elle se leva précipitamment et se dirigea prosodie une stand où étaient empilés des manuscrits d’occulte et de sciences interdites. Parmi eux, un concède entre autres attira son accaparement. ' Les Fréquences du Néant ', un article qu’elle avait trouvé chez un libraire spécialiste de les mystères inexpliqués. Elle l’ouvrit fébrilement et parcourut les premières lignes. Puis son humour se coupa. Les trois données qu’elle avait entendus figuraient là, inscrits sur un parchemin jauni datant du XVIIe siècle. Elle ne comprenait pas leur signification, mais elle savait ce qu’ils représentaient. Ils appartenaient à un familial pratique de communication avec ce que certaines personnes appelaient les voix perdues. Des sons captés sur des fréquences interdites. Des messages en provenance d’endroits où la appel de l'homme ne s’aventurait plus. Un frisson glissa le long de son échine. La voyance lui avait offert une porte rythmique l’invisible. Mais instantanément qu’elle avait revêtu un pied de l’autre côté, elle n’était plus indubitable de opter pour en rajouter encore davantage.